Chasseur de démons (fanfic wow)

[teranas]

Allez je me lance et je vous dévoile ma fanfic.Une fanfic,pour les incultes,c'est ecrire une histoire inédite,sous forme de nouvelle,bd,roman etc... en rapport avec un thème qui nous passionne et qui est inspiré directement d'un univers déjà crée.Par exemple si vous allez dans la catégorie RolePlay de ce forum,vous verrez une bande de geeks en tous genres qui écrivent ... (dequoi?ah oui mince c'est vrai je suis dedans!) vous verrez des gens très inspirés qui écrivent en collaboration étroite et soudée une histoire vue selon différents points de vues en rapport avec le monde d'Avatar.Sur ce forum,la catégorie a été appellée Roleplay mais c'est aussi une fanfic faite à plusieurs.

Bon ça va tout le monde à compris c'est quoi une fanfic?!Même les deux qui rigolent au fond?Mon oeil tiens!Bon enfin pour finir,je vous propose donc de découvrir la mienne,qui a pour inspiration le monde de Warcraft et dont l'histoire recouvre autant de choses que tout une série de romans tel que les Harry Potter (et oui j'ai lu l'histoire de warcraft « raccourci » sans histoires annexes ni détails ni rien!Et bien il y avai facilement de quoi imprimer sur 150 pages...pas mal hein?).Mon histoire est donc inspirée de celle de mon personnage favori j'ai nommé:Illidan Hurlorage.Ce qui se passe dans ma fanfic est a la fois tirée de sa vraie histoire et en même temps pleine de situations que j'ai totalement inventé!Il y a donc dacalage temporaire,anachronisme,personnages imaginaires,detournements de noms etc...

Mais vu que vous connaissez pas,j'espere que vous accrocherez quand meme .Sur ce bonne lecture!



Chasseur de démons


Chapitre 1:prologue

C'était un daim. Un magnifique daim. Grand, majestueux, un pelage soyeux et doré. Des bois magnifiquement garnis montant à l'assaut du ciel. Il était en train de brouter l'herbe généreuse de Féralas, cette forêt d'émeraude, vaste,sauvage et ruisselante de vie. Etant concentré sur son repas, il ne préta pas attention à une ombre qui approchait furtivement derrière. Ses déplacements etaient sûrs, ses gestes souples, son avancée silencieuse. Du moins tant que la nature ne le dérangeait pas. Mais apparement une petite branche n'etait pas au courant qu'elle se trouvait entre le prédateur et sa proie. Elle cédé sous le poids du pied qui se posa sur elle et émit un craquement sonore digne d'un arbre foudroyé dans le silence parfait de la forêt. Le daim tourna la tête, manqua avaler de travers une grosse bouchée d'herbe et, voyant une ombre n'ayant pas la forme d'un autre daim a moins de 5 mètres de lui, s'enfuit en une série de bons et d'enjambées affolées mais soigneusement calculées.
Après cinq minutes de zig-zag imtempestifs entre les arbres et de sauts au dessus des énormes racines qui composent la majeure partie de la forêt, il s'arrêta, le souffle court. Il se retourna et regarda vers l'endroit d'où il venait, et ne bougea plus, attendant de voir si son prédateur le poursuivait. Après un instant, ne voyant rien venir, l'animal poussa un soupir de soulagement. C'est alors qu'à l'extreme limite de son champ de vision, il crût apercevoir un infime mouvement et un bruit court et inquiétant, celui d'une arme dégainée. L'animal n'eût pas le tremps de tourner la tête, car elle venait d'être séparée de son corps. La tête tomba par terre, immédiatement suivie par son coprs qui s'affaissa lourdement à côté. La chasse était finie et la nature appliqua une nouvelle fois une de ses règles :le prédateur tue la proie.

A côté du corps inanimé de l'animal ,le prédateur esquissa un sourire satisfait. «Voilà une pièce magnifique» pensa t'il .Et il s'avança vers sa victime, en passant dans une percée que le Soleil parvenait à faire dans l'épais feuillage des arbres surdimenssionnés de Féralas. Grand,fin, un corps et une musculature très puissante, la peau d'une couleure entre le bleu et le violet, son torse nu montrait des mouvements de muscles a chacun de ses gestes. Il se pencha sur le corps sans vie du daim. Il avait un visage d'une beauté surprenante. Des traits fins et étirés mais fermes marquant une grande virilité mélangée avec la fougue de la jeunesse et la sagesse d'un ancien. Mais le reste de son visage était le plus surprenant. Ses yeux irradiaient une belle couleure dorée  et malgré l'absence d'iris, on sentait que rien dans les alentours ne lui echappait. Ses sourcils noirs étaient si longs qu'ils dépassaient de son visage. Ses oreilles très pointues mesuraient environ 40 centimètres et pointaient horizontalement vers l'arrière. Enfin ses longs cheveux noirs descendaients sur son dos et ses épaules comme une cascade soyeuse .Il sortit une corde et commenca à ficeler l'animal pour le traiter chez lui. Soudain une voix derrière lui lui reprocha:

-Je t'ai déjà dit que l'équilibre naturel est fragile, Illidan, et les daims commencent à se faire rare. Il ne faut en tuer qu'en cas de necessité.

Illidan se retourna et regarda l'énorme oiseau perché sur une branche à dix mètres d'altitude.

-Je sais.Mais vois-tu Malfurion, tes necessités ne sont pas les mêmes que pour moi.

[tìrey tsawke]

Pas mal !
J'ai supprimé l'autre topic ... et sinon c'est normal le gros blanc et le "1" à la fin de ton message ?

[Kifkeyit ftiayu]

"Page 1", je suppose!

Sinon, WoW, je ne connais que de nom, alors bon...

[teranas]

Oui c'est ça c'est la page 1 etant donné que je fait tout a la main avant puis je met sur ordi je numerote aussi les pages mais en fait je pense que c'est inutile je vais arreter ça.Ensuite si vous ne connaissez pas wow,ce n'est pas grave,personne ne connaissais Harry Potter avant de lire le premier livre,c'est la meme chose

[tìrey tsawke]

"Page 1", je suppose!

Sinon, WoW, je ne connais que de nom, alors bon...

Merci pour l'info !
Et comme toi, WoW ça me dépasse un peu ... je connais que de nom

[teranas]

Chapitre 2:Le chasseur et la prêtresse


Eldre'Thalas, cité millénaire, havre de paix et opulente ville elfique. Le quartier des marchands, ses odeurs enivrantes, ses couleures attirantes venues de régions exotiques, sauvages et lointaines... Ses divertissements à chaque coin de rue, allant du magicien qui soutirait des regards impressionnés des enfants en jouant avec la magie, au montreur de bêtes exposant ses captures dans des cages pour les plus dangeureuses, dans des enclos pour celles plus paisibles.

A côté de ce quartier vivant s'en trouvait un autre tout aussi actif: la terrasse des artisans. Commerçants et producteurs de passage avaient tout à portée de main. Le bruit du marteau de forgeron frappant l'enclume se mélangeait au bruit alléchant des cuisiniers et leur odeux à celle des fleurs que produisaient les herboristes. Parfois ces sons étaient coupés par des cris venant de l'infirmerie car la magie ne pouvait pas tout faire.

Au sud se trouvait le temple de la lune, où les voyageurs en quête de repos, de solitude et de bien-être se rendent, acceuillis par une large rampe de pierre surplombant un calme ruisseau limpide menant à une vaste alcolve de éclairée par la Lune. A l'interieur, le temps semblait figé car il y regnait un tel calme que l'on pouvait entendre les arbres pousser et chaque visiteur soupirer de quiétude. Au centre de ce bâtiment se situait un bassin dont les eaux transparentes irradiaient une lueure bleue et argentée comme la pleine Lune. Au milieu de ce bassin s'élevait majestueusement une statue d'albâtre représentant la déesse Elune, les bras tendus vers le ciel, supportant un immense récipient se remplissant sans relâche de la même eau pure que le bassin et qui se deversait dans celui-ci en formant quatres fines cascades.

Au nord se dressait fièrement l'armurerie, un bâtiment si droit et imposant qu'il avait la même allure qu'un général au garde-à-vous. Au pied de cet édifice militaire, les soldats avancaient au trôt, d'autres croisaient le fer ou encore d'autres décochaient des rafales de flèches sur des mannequins de paille.
A quelques rues de là, des spectateurs criaient, sifflaient, huaient des combattants au centre de l'arène. Partout on pariait, criait, gagnait, s'échangeait des bourses ou encore frappait du pied de frustration car on avait misé sur le perdant.
Et au centre de cette ville, une tour majestueuse semblait tenter d'assaillir le ciel, surplombant la ville et une partie de la région. Si cette tour avait des yeux, elle lancerait des regards arrogants au reste de la ville, y compris à la banque, aménagée dans un immense arbre en forme d'ours dont les yeux rappellaient aux malhonnêtes que les protections magiques de la banque etaient réputées infaillibles (les voleurs les plus chanceux avaient finis borgnes, unijambistes, manchots ou les trois à la fois) , ainsi qu'à la bibliothèque, là où des millénaires de sagesse, d'études et d'histoires étaient entassées. Tout le monde semblait vivre dans le meilleur des mondes tant que l'on restait dans cette ville mais ce ne fut pas vraiment le cas de tous.

Depuis l'immense tour résonna un cri de colère. Dans une rue étroite du quartier des marchands, une silhouette se retourna et lança un regard vers l'édifice.

mince, il s'en est déjà rendu compte. J'ai interêt à filer, la ville va grouiller de gardes à ma recherche.

Silensieusement, la silhouette continua sa progression à travers la ville. Elle ne pouvait essayer de se mêler à la foule car elle était connue et elle serait immédiatement repérée par les gardes qui parcourent les rues. Heureusement ce n'était pas sa première évasion, donc elle connaissait tous les endroits sûrs où à éviter. Elle devait à présent faire vite car elle entendit les pas réguliers d'une vingtaine de garnisons qui se séparaient dans la ville pour la trouver. Heureusement,le mur Est était en vue et le tour était pratiquement joué.

Enfin elle arriva à la muraille Est et il ne lui restait plus qu'à la franchire pour sortir de la ville. Elle vérifia que les gardes de la porte ne l'avaient pas vu et attrappa un solide lierre. Celui-ci montait jusqu'en haut de la muraille et pouvait supporter son poids. Elle avait d'ailleurs put le vérifier une demi-douzaine de fois. Elle se hissa jusqu'en haut du mur et juste avant de descendre de l'autre côté, elle vit une patrouille approcher en interrogeant les passants. La silhouette eut un sourire narquois et descendit avec une incroyable aisance. A peine eut elle touché le sol qu'elle se mit à courir.

A partir de ce moment, même le plus sanguinaire des trolls qui auait croisé ce fugitif aurait hésité à être aggressif envers la proie qui se présentait à lui. Une elfe de la nuit, habillée d'une simple robe d'une blancheur étincelante et d'un diadème tout aussi clair reposant sur le front, de longs cheveux d'un bleu à la fois si profond qu'une nuit de pleine Lune et à la fois aussi clair que la transparence turquoise des mers chaudes du Sud. Un corps d'une belle couleure rose foncé avec des lignes parfaites et des gestes si souples et gracieux qu'avec son visage mélant l'innocence d'une fillete de 8 ans, la sagesse d'une longue vie et la beauté d'une déesse, on se serait cru victime de la plus belle halucination qu'on puisse imaginer. Ses pieds légers se tachant de l'herbe d'émeraude de Féralas, elle continuait de courir à travers la forêt mais commencait à avoir le souffle court. Elle regretait de ne pouvoir prendre son tigre de monte mais elle aurait été immédiatement repérée. Enfin elle arriva à destination.

Un magnifique arbre dans lequel était installé une habitation typiquement elfique. Solidement perchée dans les branchages de l'arbre à une dizaine de mètres du sol, on montait grâçe à une rampe en colimaçon autour du tronc. Une fois en haut, on arrivait dans un hall assez vaste et aménagé pour y tenir une récaption. Une autre rampe menait plus haut à la chambre munie d'une bibliothèque et de deux lits. Ce qui était très étrange car l'elfe vivait seul. La femme avança vers la salle principale de cette habitation. La salle où étaient exposés les armes et les trophés et où on s'exercait au combat. Au fond  de la salle, après les trophés d'ours, de loups, de sangliers, de trolls et d'ogres, après les mannequins en bois et en paille, après les glaives, les dagues et les arcs, un elfe essayait tant bien que mal d'accrocher une tête de daim sur le mur du fond. La femme s'approcha à pas lents et mesurés.

L'elfe était imposant. Chaque muscle bougeait de façon étonnante avec le moindre de ses mouvements et ses longs cheveux d'un noir d'ébène descendaient en cascade sur ses épaules nues et son dos. Le femme tendit la main pour toucher l'elfe lorsqu'au moment où elle allait entrer en contact avec sa peau viollette, un courant d'air passa dans ses cheveux. En une fraction de seconde, l'elfe avait senti une présence derrière lui, était passé d'un geste derrière l'intrus, lui prit fermement le poignet et de l'autre main dégaina une des lames jumelles accrochées à sa ceinture et appuyait la pointe sur la gorge de la femme. Pendant une première seconde, le visage  de l'elfe fut ferme et implacable. Il turait de sang froid si l'intrus était dangeureux. La seconde d'après, il regarda la femme comme si il venait de lui pousser une deuxième tête.

-Tyrande?!
-Bonjour illidan.

Illidan lâcha sa prise et regarda d'un air de cien battu la goutte de sang qui perlait sur la peau rode de Tyrande.

-Je...je suis...désolé pour..., balbutia t'il.
-Oh ce n'est rien, ne t'inquiète pas pour ça.

Elle posa sa main sur son cou, il en irradia une légère lueure dorée et lorsqu'elle la retira, il n'y avait plus aucune trace de la moindre blessure.

-Mais que fais tu ici? demanda Illidan d'un air incrédule.
-Et bien je suis venue te rendre visite tout simplement.
-le seigneur Xavius va encore te chercher.
-Qu'il me cherche! Ca lui fera bouger son cul de son fauteuil doré!
-Voyons Tyrande! fit Illidan outré.
-Mais quoi? Qu'est-ce que j'ai dit? rétorqua t'elle avec un faux air innocent.
-Le seigneur Xavius est le second de la reine Azshara. Tu es au sein des Soeurs d'Elune la disciple la plus prometeuse. C'est pour ton bien qu'il est ton maître.
-Je n'ai pas de maître! Mon corps, mon esprit et mon âme appartiennent à Elune.

Illidan prit un faux air triste.

-Même pas un tout petit peu à moi?
-Mais si, à toi aussi bien sûr! fit-elle en déposant un baiser sur la joue d'Illidan qui pris une teinte violet foncé (l'équivalent de rougir). Toi et ton frère êtes les deux hommes de ma vie.

Elle s'allongea sur le banc où les deux elfes s'étaient assis pour parler et posa tendrement sa tête  sur l'épaule d'Illidan .Il avait le regard vague. Il aurait aimé dire qu'elle était aussi la femme de sa vie mais c'était bien plus que cela. Elle était la femme de toutes les vies qu'il avait vécu, de toutes les années qu'il avait vécu durant cette vie, de toues les années à venir (c'est à dire nombreuses car les elfes de la nuit sont immortels), et de toutes les autres vies qui pourraient venir ensuite. Il la regarda fermer un instant les yeux, la tête posée sur son épaule. Comme toujours sa beauté l'époustouflait. Depuis 3200 ans que Malfurion, elle et lui se connaissaient, il avait toujours eu une forte attirance pour elle. Mais ce n'est qu'il y a à peine 300 ans qu'il avait compris qu'il était fou amoureux d'elle.
Il y a 300 ans, à quelques jours près, le premier soir de la fête lunaire, elle l'emmena jusqu'au lieu de la fête et alla danser au milieu de la foule la liesse. Il la regarda danser quelques secondes puis le temps sembla se figer. La foule, la musique, les feux d'artifice, plus rien n'avait d'importance. Seuls restaient Illidan et la créature de rêve face à lui, se mouvant avec des gestes d'une grâçe divine et qui était en train d'installer dans son coeur un sentiment exaltant: l'amour. Un amour sincère, puissant, d'une profondeur insondable. Depuis ce jour, il fesait tout ce qu'il pouvait pour lui plaire, l'impressionner .Il voulait ce qu'il y avait de mieux pour elle. C'est d'ailleurs pour cela qu'il prenait très au sérieux sa formation de prêtresse. Il soupira de bonheur, profitant du moment pendant lequel elle serait encore appuyé sur son épaule. Quelques secondes passèrent et Tyrande décida de rompre le silence.

-Tu as encore tué un daim? fit elle en regardant la tête de la pauvre bête à moitié accrochée au mur. J'imagine que Malfurion t'as encore blamé.
-Oui, histoire de changer. Mais au moins tant qu'il est comme ça, ça veut dire qu'il est en bonne santé.

Tyrande se mit à rire.
Ils passèrent le reste de l'après-midi à se remémorer des moments passés ensemble. Ils se rappelèrent avec délice du jour où Illidan apprenait à Tyrande queques passes à l'épée car en tant que Soeur d'Elune, elle aurait un jour le commandemant d'une partie de l'armée elfe et il était donc primordiale de savoir se battre. Lors d'un entrainement, Illdan fit semblant de se laisser parader par la novice et celle-ci contre-attaqua aussitôt et fit une petite coupure sur le bras d'Illidan. Aussitôt sa gentillesse naturelle la rattrappa et elle laissa tomber l'épée, déballa des trésors d'excuses et soigna la simple égratinure.
Ils se rapellèrent aussi d'un jour où Tyrande avait quartier-libre et s'était empréssé d'aller rendre visite à Illidan. Lorsqu'elle arriva chez lui, il semblait s'être absenté. Elle attendit, longtemps, très longtemps, trop longtemps. Sa permission allait se terminer et elle refusait l'idée de ne pouvoir voir Illidan aujourd'hui. Soudain, un sourire d'enfant en train de préparer sa prochaine bêtise se dessina sur son visage. Elle se mit debout, inspira profondément puis hurla:

-AU SECOURS,ILLIDAN VIENS M 'AIDER!!!

Puis elle décompta. 10,9,8...3,2,1... Soudain apparut près d'elle celui qu'elle attendait, comme s'il tombait du ciel. Elle n'eut même pas le temps  de se tourner vers lui qu'il l'attrappa et la mis sur son épaule sans paraître fournir le moindre effort et bondit hors de la maison. 30 mètres plus bas, il atterit comme s'il venait de sauter du haut d'une chaise, courru vers l'arbre le plus proche et posa la prêtresse à terre, adossée au tronc. Il lui pris l'épaule et lui demanda d'une voix à la fois enragée et inquiète:

-Qui t'a attaqué? Pourquoi? Où est-il? Qu-est ce qu'il t'a fait?

La prêtresse avait la tête baissée et sanglotait. Illidan voulu la serrer dans es bras pour la réconforter mais avant même qu'il ne puisse le faire, elle releva la tête. Son visage était bien noyé de larmes mais en réalité, elle était prise d'un fou rire incontrôlable. Instantanément, il comprit, se redressa de toute sa carrure athlétique, et s'éloigna d'un pas lourd. Tyrande était encore en train d'essayer de se calme r(avec beaucoup de difficultés) , puis lorsqu'elle parvint à redevenir à peu près sérieuse, marcha vers son pseudo-sauveur qui s'était assis un peu plus loin, le visage coléreux.

-Je suis désolé, Illidan .Elle se mordit les levres pour ne pas mourir de rire à nouveau. C'était plus fort que moi et tu as réagi au-delà de mes éspérances.
-Si tu savais à quel point je m'était fait du souci pour toi lorsque je t'ai entendu crier.Je ne permettrai pas qu'il t'arrives quoi que ce soit.

Elle se mit à genou derrière lui et enlaça ses bras autour de son cou.

-Tu m'en veux vraiment?

On sentait de la tristesse et de la gêne dans sa voix et cette fois, c'était vrai. Sentant ses bras se nouer autour de son cou et sa tête se poser sur sa nuque, Illidan répondit:

-Non,bien sûr que non.

Il ne pouvait en vouloir au centre de son univers. Il balaya peur, colère, frustration et ne laissa dans son coeur que ce qui le liait à elle: l'amour.

Les deux amis étaient tellement occupés à se remémorer leurs aventures passées ensemble qu'ils en oublièrent l'heure. Le crépuscule commancant à poindre, Tyrande dut s'en aller et retourner au temple de la lune où était le dortoir des Soeurs d'Elune.

-Je vais te laisser seul, dit Tyrande. Tu dois être en forme pour demain. Au fait, tu sais si ton frère y sera et que pour une fois il ne sera pas à se balader dans la nature?
-Oh ça m'etonnerai beaucoup, répondit Illidan. A mon avis il sera encore en train de faire le zooph...

Il croisa le regard enflammé de Tyrande.

-...logiste! se rattrappa t'il in extremis.

Ils se saluèrent, se souhaitèrent bonne nuit et elle descendit. Il la regarda s'éloigner vers la ville, la vit se retourner et lui addresser un salut de la main. Il le lui rendit et cette fois ci elle partit pour de bon. Il retourna dans sa salle d'arme et fini d'accrocher la tête de daim qui pendait lamentablement au mur. Une fois terminé, il mangea un morceau de l'autre partie de l'animal en la fesant cuire avec une flamme qu'il tenait dans sa main sans qu'elle le brûle. Puis il alla se coucher. Il soupira en voyant le lit vide à coté du sien, se demandant quand celle à qui appartenait son coeur dormirait à ses côtés dans ce lit. D'un geste il éteignit la flamme qui servait aussi à éclairer et s'endormi. Il devait être en forme demain car il participerait à un tournoi où il ésperait se distinguer aux yeux de Tyrande. Il ferma les yeux et se laissa emporter dans le silence de la nuit.

[aytsmukan]

Cela semble plutôt intéressant mais peux tu aérer tes textes car à la longue cela fait mal aux yeux.

En tout cas continu comme cela...

[teranas]

Je suis désolé sur open office,les textes sont arrangés convenablement mais c'est le format des posts sur le forum qui les met comme ça.Même si je fais des paragraphes,ils seront écrits plus en longueur qu'autre chose.Ou alors il faudrait que j'utilise le outils du forum pour aggrandir les lettres,genre taille 14-15 qu'est ce que vous en pensez?

[tìrey tsawke]

Cela semble plutôt intéressant mais peux tu aérer tes textes car à la longue cela fait mal aux yeux.

En tout cas continu comme cela...

Je plussoie !
Ca fait vite mal aux yeux   
Et puis aussi, c'est normal qu'il n'y ait jamais d'espaces sur tes messages ? du style "blablabla.lalala,blablabla."

[Nanaki]

Je suis désolé sur open office,les textes sont arrangés convenablement mais c'est le format des posts sur le forum qui les met comme ça.Même si je fais des paragraphes,ils seront écrits plus en longueur qu'autre chose.Ou alors il faudrait que j'utilise le outils du forum pour aggrandir les lettres,genre taille 14-15 qu'est ce que vous en pensez?

Non, va plus à la ligne, pourquoi ne pas rajouter quelques images, et mettre de la couleur sur des passages importants ?

Un peu comme j'ai fait pour mon RP

Parce que c'est vrai que comme ça, ça ne donne pas vraiment envie de lire ce pavé

[teranas]

Voila j'espere que ça vous convient mieux comme ça.Et pas bête pour les illustrations je vais de ce pas en chercher directement dans le jeu et sur internet.

[Nanaki]

Voila j'espere que ça vous convient mieux comme ça.Et pas bête pour les illustrations je vais de ce pas en chercher directement dans le jeu et sur internet.

C'est déjà mieux mais la taille de la police est un peu ... énorme

[tìrey tsawke]

Oui en effet, c'est plus aéré, on voit mieux, par contre réduit la police et ça sera nickel

[teranas]

Vous n'êtes jamais contents ma parole.Un p'tit café pour aller avec?Déguisé en Na'vi?Avec vu sur la mer?
ça m'a pris une demi-heure pour tout remettre au propre en copiant-collant les outils du forum etc...donc ce sera pour les prochains chapitres j'ai vraiment trop la flemme la

[tìrey tsawke]

Vous n'êtes jamais contents ma parole.Un p'tit café pour aller avec?Déguisé en Na'vi?Avec vu sur la mer?

Et pourquoi pas ?
Non mais sérieusement, comparé aux autres messages, ça fait gros.
Si tu veux je me charge de réduire

[Nanaki]

Vous n'êtes jamais contents ma parole.Un p'tit café pour aller avec?Déguisé en Na'vi?Avec vu sur la mer?

Je signe tout de suite !

Et pourquoi pas ?
Non mais sérieusement, comparé aux autres messages, ça fait gros.
Si tu veux je me charge de réduire

Oui parce que là c'est vraiment hard

[aytsmukan]

C'est beaucoup mieux. Va te coucher, tu as fait du bon travail.

[teranas]

Oui s'il te plait Tirey si tu peux t'occuper de réduire tout ça je veux moi c'est la grosse galère je dois copier-coller le texte,tout relire en plaçant les outils du forum,refaire un décalage entre points et virgules,ensuite reenregistrer,editer message forum,effacer tout recoller,superviser...
*Pff,pff,argh,koff,koff...*

mais bon si il faut ça pour que vous puissez l'apprécier a sa juste valeur,je le ferai.mais puisque tu t'es proposé tirey je dit pas non

Et en bonus voici les illustrations promises


La terasse des artisans



la aussi



la muraille que franchi Tyrande



un garde de la ville



encore la terasse des artisans



le temple de la lune



la statue de la deesse



Tyrande elle meme



une autre vue de la statue



la banque



ce a quoi pourrait ressembler a peu pres la maison d'illidan (en plus petit et ce n'est pas la sienne il n'en a pas dans le jeu)



un des trophés



et voici comment on accede aux maisons en hauteur



voilà d'autres illustrations accompagneront les prochains chapitres!!

[Nanaki]

Darnassus Je vais lire ta fanfic demain ma tsmukan

[teranas]

Ben oui cmme je l'ai dittout ne colle pas dans ma fanfic.Je me suis effectivement inspiré de cette ville pour créer Eldre'thalas parce que dans ma fanfic,Darnassus n'existe pas encore et actuellement dans wow,Eldre'thalas est en ruines.