James Cameron au Canada

Started by hufwe som, September 30, 2010, 02:36:04 AM

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hufwe som

allez voir ça, JC est en Alberta pour prendre position sur une question environnementale  ;)

http://fr.canoe.ca/divertissement/celebrites/nouvelles/2010/09/29/15516271-qmi.html
mon corps est sur terre mais mon coeur est sur Pandora :D

xelloss

Kaltxì ayngaru...

Nom de Zeus !
La RDA est déjà chez nous...

Le Sable Bitumeux est une super bonne méthode pour détruire notre "Belle Planète Bleue"...
J'en connais une qui dirait sûrement "C'est triste... Triste et seulement triste..."  :-\

Allez, pour le "fun", j'vous pose les définitions de 'Wiki'

Extraction minière
Un grand problème est observé lors de l'exploitation minière des sables bitumineux. Puisque les sables bitumineux sont situés sous le sol, il faut tout d'abord raser toute la forêt boréale pour enlever le terreau de surface et le mettre de côté. Par la suite, on creuse le mort terrain, qui est à une profondeur de 50 mètres environ. Le mort terrain est enlevé, jusqu'à atteinte des sables bitumineux qu'on extrait de mines à ciel ouvert. Tout ce procédé est effectué à l'aide de camions de 365 tonnes et des grues colossales, dont les pelletées font 100 tonnes.

Comme pour l'exploitation des autres ressources minérales à ciel ouvert, l'opérateur doit remettre en état les terrains après l'exploitation.

Le sable est par la suite transporté aux différentes usines d'extraction du bitume. L'extraction du bitume se fait par le procédé à l'eau chaude, mis au point par Karl Clark en 1929. Ce procédé consiste à placer le sable bitumineux dans d'énormes tambours rotatifs et à le mélanger avec de l'eau chaude et de la vapeur. Le bitume se sépare du sable et se lie aux bulles d'air. Le tout est tamisé et déposé dans des contenants de formes coniques permettant la séparation. Le bitume lié à l'air est récolté sous forme de mousse, contenant 65% de pétrole, 25% d'eau et 10% de solides. Après avoir séparé le tout à l'aide de grosses centrifugeuses, trois couches sont observées. Les grosses particules de sables se déposent au fond, qui sont pompés vers une décharge et utilisés dans la construction des digues. La couche intermédiaire est constituée d'un mélange d'eau, de petites particules de bitumes et quelques minéraux, qu'on appelle mixtes. Cette eau intermédiaire est retirée et pompée afin de les réutiliser dans le processus d'extraction. Enfin, le bitume flotte à la surface, ce qui permet de le récupérer avec un pourcentage de 88 à 95%.


Extraction in situ
La nouvelle technologie in situ est utilisée pour exploiter les dépôts enfouis plus profondément (>75 mètres) et dont l'extraction minière de surface ne serait pas économiquement rentable. L'extraction in situ permet la séparation du bitume et du sable dans le même réservoir. Cette dernière consiste en des puits qui sont creusés dans le sol et qui permettent d'injecter de la vapeur d'eau chaude (~ 300 °C) à haute pression (11 000 kilopascals)[5]. Suite à cette injection, la température du bitume augmente, entraînant une diminution de sa viscosité. Ainsi, le bitume est fluidifié et peut être facilement pompé. L'extraction in situ peut se faire selon deux procédés différents, soit par Cyclic Steam Simulation (CSS) ou par Steam Assisted Gravity Drainage (SAGD).

La première solution fut le procédé CSS (Cyclic Steam Simulation). Il consiste à utiliser un même puits alternativement en injection de vapeur et extraction de bitume. La vapeur liquéfie le bitume et rend le pompage possible. L'extraction est effectuée par cycles injection-attente-production, dont la durée complète varie entre six et dix-huit mois. Lorsque le taux de production devient trop faible, un nouveau cycle est entamé. Cette technique offre un taux de récupération de 20-25%[6]. Par rapport à l'extraction minière, on ne dérange qu'une toute petite surface au sol, et les nuisances générales (bruit par exemple) sont bien moindres. Cependant la consommation d'énergie pour produire la vapeur est énorme.

La technique SAGD (Steam Assisted Gravity Drainage), qui n'a pas encore atteint sa phase de maturité, utilise des puits horizontaux associés deux à deux. Le puits du dessus injecte en permanence de la vapeur tandis que celui du dessous recueille eau et bitume. Contrairement au procédé CSS, la quantité de vapeur à injecter pour une production de bitume donnée est moindre, ce qui améliore le bilan énergétique, mais cette solution ne peut pas s'appliquer partout : il faut une bonne homogénéité verticale du réservoir pour que l'écoulement s'établisse.

L'extraction in situ se fait de plus en plus depuis l'an 2000. Le bitume récupéré in situ en 2000 représentait 40 000 m³, tandis qu'en 2006, le bitume récupéré par cette technique atteignait les 75 000 m³. Aujourd'hui, un peu plus de 12% du bitume est récupéré par l'extraction in situ et d'années en années, cette proportion augmentera. Le grand désavantage relié à cette méthode d'extraction repose sur le fait qu'elle est très coûteuse mais aucun impact environnemental n'est connu pour l'instant.



Pour les courageux qui ont lu, voici une vidéo...

http://www.dailymotion.com/video/xaxgbo_sables-bitumineux-total-invente-la_news


Eywa ayngahu frakrr !
Le premier homme qui est mort à du être drôlement surpris.
Partir c'est mourir un peu, et mourir c'est partir beaucoup.
La Terre est basse.
Les lénitions, en rouge

Le Na'vi fpi Ayskxawng 2022

hufwe som

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